1. Piero (7 mai 2015) : Bonjour à Vous. La pièce jointe alimentera sans doute la discussion. Amicalement
<n°77 Janv. 2012. Le darwinisme en question, P. E. Johnson.doc>
Roger (8 mai) (…) …l’ouvrage de P.E. Johnson « Le darwinisme en question » commenté par vos soins me paraît un excellent pivot. L’ensemble est trop lourd pour nos envois. Je ne peux pas utiliser les p.j pour des raisons pratiques : certains de mes correspondants ont de vieilles machines. Une solution serait de me donner un lien pour permettre à nos lecteurs d’en prendre commodément connaissance. Une autre, plus élégante à mon sens, serait de donner votre adresse mail qui figure sur votre étude. Qu’en pensez-vous ?
Piero (8 mai) : Bonjour Roger Soit, que l’on sache qu’il est à disposition avec mon adresse mail, ça ira bien. Merci et à bientôt nunge.gillet@free.fr
2. Roger (9 mai 2015) : L’ouvrage pivot : PHILLIP E. JOHNSON LE DARWINISME EN QUESTION SCIENCE OU MÉTAPHYSIQUE ? Préface du Dr. Anne Dambricourt Malassé chargée de recherche au CNRS, paléoantropologue COLLECTION REGARD CRITIQUE ÉDITIONS EXERGUE, deuxième édition augmentée 1997
QUATRIÈME DE COUVERTURE » Le Darwinisme en Question est sans conteste la meilleure critique du darwinisme que j’ai jamais lue. Le professeur Johnson mène une attaque brillante et dévastatrice contre l’édifice de la foi darwinienne. «
(Michael Denton, biologiste moléculaire, auteur de l’Évolution : Une théorie en crise.)
Selon la synthèse néo-darwinienne moderne, le monde vivant aurait évolué, depuis la première bactérie jusqu’à l’être humain, par la sélection naturelle de mutations génétiques aléatoires. Cette théorie est aujourd’hui acceptée par le public comme une vérité établie. Mais sur quelles données se base-t-elle ?
Phillip Johnson examine les preuves, avec l’impartialité d’un juriste spécialisé dans la logique des arguments. Sa conclusion est que ces preuves brillent par leur absence, tandis que règnent les spéculations invérifiables. En dépit d’un triomphalisme conventionnel, les savants darwinistes ne sont toujours pas parvenus à produire les confirmations empiriques qu’ils cherchent : les archives fossiles montrent trop de discontinuité dans l’évolution, et les découvertes de la biologie moléculaire obligent à conclure, avec Yves Coppens, que » le hasard fait trop bien les choses pour être crédible « . Mais la crise qui secoue actuellement l’édifice darwinien reste largement ignorée du public.
Si le darwinisme continue d’être le catéchisme enseigné dans les manuels, c’est parce qu’il est l’unique concurrent à l’hypothèse d’une Intelligence créatrice (œuvrant éventuellement de façon progressive). Mais n’est-il pas lui-même un acte de foi, faisant du hasard un dieu créateur, alors même que la thermodynamique l’a reconnu comme le maître du chaos ?
Dans ce livre à la fois informatif et polémique, vivant et accessible, Phillip Johnson partage sa vaste connaissance scientifique pour nous guider à travers une enquête étonnante sur une doctrine qui, depuis plus d’un siècle, façonne l’idée que l’homme a de lui-même, et sert de fondement à toutes les idéologies matérialistes.
PHILLIP E. JOHNSON est diplômé de l’Université Harvard et de l’Université de Chicago. Il enseigne le droit depuis plus de vingt ans à l’Université de Berkeley et intervient dans les controverses juridiques américaines sur l’enseignement du darwinisme.
2. Pour en savoir plus. Ouvrage condensé et annoté par Piero pour l’association Délivrez les idées ! avec l’aimable autorisation supposée des auteurs et des éditeurs. Le demander à nunge.gillet@free.fr
3. Le débat.
1. Persée : Philip E. Johnson, Le darwinisme en question …
www.persee.fr/…/phlou_0035-3841_2003_num_101_2_7495_t1_0340…
2. Phillip Johnson et l’I.D.: les évangéliques sont-ils en train d …
www.scienceetfoi.com/…/phillip-johnson-evangeliques-lamoureux/
www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosevol/decouv/articles/chap1/lecointre4.html
4. Michel (11 mai 2015) : Je travaille depuis plusieurs années sur les ravages du Darwinisme en anthropologie. Il a conduit directement au colonialisme et à toutes les formes de racisme plus ou moins assumé. Même les défenseurs des Africains comme Paraf utilisent le terme d’évolués et de non évolués pour désigner les Africains descendus ou non encore totalement descendis des arbres…
Roger (11 mai )Tu me diras si cette réflexion est juste. Je vois trois darwinisme successifs.
1. Celui qu’on a voulu lire : la lutte pour la vie, le plus fort gagne. Justification de l’exploitation brutale : colonialisme
2. Celui qu’il a écrit : le plus intelligent gagne. Justification de l’exploitation habile : néo-colonialisme
3. Celui qu’on commence à lire : dans la nature, la coopération gagne. Nouvel ordre mondial possible.
Michel (11 août 2015) : Message mis de côté pour le problème qu’il me pose, et oublié
Pas d’accord du tout concernant le Darwinisme.
C’est un sujet sur lequel je travaille par l’anthropologie.
Pour moi aucune différence entre colonialisme et néo. Il s’agit dans les deux cas du Darwinisme social.
Le marxisme rejoint avec des arguments différents les capitalismes, il y a des sociétés en avance sur d’autres dans l’évolution, elles se doivent d’aider les autres, sous développées, inférieures, primitives… la pire des hypocrisies étant celle des ONG, qui font de l’aide métier et business.
L’exploitation n’est qu’une conséquence pour moi de cette vision.
En anthropologie cette la grande bataille menée par les Français contre évolutionnisme, culturalisme…
(…)
5. Roger (1er sept) : J’ai beau relire nos deux contributions : elles disent la même chose avec des mots différents.
Par contre l’article Wikipédia sur le darwinisme social nous conduit vers des horizons plus intéressants à mon avis. Je cite :
« La thèse de l’entraide est développée en 1902 par Pierre Kropotkine dans L’Entraide : Un facteur de l’évolution une critique claire vis-à-vis du darwinisme social. Dans cet ouvrage, le prince et anarchiste russe répond spécifiquement aux théories de Thomas H. Huxley publiées dans La Lutte pour l’existence dans la société humaine en 1888. Kropotkine, sans nier la théorie de l’évolution de Darwin, y précise que les espèces les mieux adaptées ne sont pas nécessairement les plus agressives, mais peuvent être les plus sociales et solidaires. Il fournit des exemples empiriques du règne animal, ainsi que d’autres puisés dans des sociétés humaines, celles qu’il appelle les « Sauvages », les « Barbares », les villes médiévales, ainsi que dans la société de son époque. Kropotkine ne nie pas non plus l’existence de compétition, mais pense que la compétition est loin de constituer le seul facteur de l’évolution, et que l’évolution progressiste est plutôt due à la socialisation et à l’entraide mutuelle.
Le primatologue néerlando-américain Frans de Waal, qui a étudié au début du xxie siècle le sentiment d’empathie chez les animaux, en déduit que le darwinisme social « est une interprétation abusive : oui, la compétition est importante dans la nature mais, on l’a vu, il n’y a pas que cela. (…) Nous sommes aussi programmés pour être empathiques, pour être en résonance avec les émotions des autres. »
Les batailles d’idées m’intéressent médiocrement.
Roger et Alii
Retorica
1 110 mots, 7 300 caractères, 2016-03-29
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