FAQ Retorica

A quoi et surtout à qui sert ce site ? A recueillir une partie de ce qui me paraissait le plus intéressant dans ce que j’enseignais. Et à en explorer les prolongements possibles en les actualisant. D’où des développements intéressants.
Ce qui m’est utile a quelques chances d’être utile à d’autres. D’où l’idée d’un site ou d’un blog ouvert, nourri des interrogations et des réponses des personnes qui veulent bien le consulter et l’explorer.
Le mot « encyclopédie » vient d’une expression grecque de Plutarque « enkyklios padeia » (circulaire + éducation) soit donc, selon Quintilien : « l’ensemble des savoirs qui constituent une éducation complète » (d’après Wikipedia). Or une éducation est toujours incomplète et toujours en devenir jusqu’à notre dernier souffle. Les savoirs réellement utiles sont peu nombreux.

L’ensemble est synthétisé par les trois pensées positives :
« L’éducation n’est pas un vase mais un feu »
« Le début est la moitié du tout »
« Je m’avance vers celui qui me contredit, qui m’instruit ».

Ce slogan crée la surprise par sa vulgarité. On en a beaucoup parlé dans les groupes de correspondants. Le « caca » est né d’une exaspération personnelle devant le caca pédagogique, politique, intellectuel : nous préférons l’abstrait au concret, les systèmes aux personnes. Nous disons « Périssent les hommes plutôt que les principes ». On s’étonne ensuite que ce « caca » nous mène à l’anus mundi. C’est ainsi qu’un médecin qualifiait Auschwitz. On n’en sort jamais, bien entendu, mais on peut et on doit essayer d’en sortir en travaillant sur les mots. « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » .(Albert Camus et la sagesse chinoise)

La mention « trampoline » indique que, dans l’article, il y aura un rebond, une légère digression en lien tout de même avec le sujet mais qui est l’amorce d’un autre thème. L’ensemble des fichiers, constamment ouvert, constamment en mouvement, constitue un réseau informel dans lequel on peut entrer, par nécessité ou par fantaisie, par les mots-clés (les « tags »).

Par commodité. Si j’ai besoin d’un dessin ou d’une photo je renvoie à un ou plusieurs liens. Les seules images qui m’intéressent ce sont les images intérieures, celles que notre imagination peut créer en lisant des textes écrits. Ce qui renvoie, bien entendu, à la rhétorique.